09/05/2019 Nico

Petite article légèrement provoquant. Attention, effectuer ces démarches peut vous faire perdre votre job ! Ah c’est ce que vous voulez ? Alors continuez ! 🙂

L’adéquation entre ses objectifs de développement et sa vie professionnelle est indispensable pour son épanouissement. Il arrive que vous ne soyez plus à l’aise dans votre travail ou que votre travail ne soit plus en adéquation avec vos objectifs.

Il est important alors de trouver une solution. Une solution très simple est de chercher à vous faire virer par votre patron. Pour y arriver trouver des astuces pratiques et efficaces. Vous pourrez alors espérer obtenir un licenciement ou une rupture conventionnelle de votre contrat CDI.

L’utilisation abusive de votre téléphone au travail

Le téléphone portable est aujourd’hui un outil incontournable de communication. Ami fidèle de tous, il peut être l’arme idéale pour se faire virer. Faites simplement ce qui vous passionne. Allumez votre connexion et discutez avec vos amis sur les réseaux sociaux ou faites vos recherches personnelles toute la journée sans vous cacher.

Si vous préférez la musique ou les jeux, allumez et augmentez le volume sans gêne. Mettez en pratique tout ceci aux heures et dans les locaux de travail vous assurera un résultat efficace.

Faites le contraire de vos habitudes

Étiez-vous studieux et ordonné ? Il est temps que cela change. Prenez votre pause à l’heure qui vous convient et revenez un peu en retard. N’hésitez pas à animer des discussions avec vos collègues ou à poser des questions qui sortent du sujet de travail à votre patron.

Soyez moins assidu au boulot et prétextez le sommeil, la fatigue de la veille ou d’autres raisons peu convaincantes. S’il existe dans votre société un ordre vestimentaire, ne le respectez plus. Pas besoin de raison solide, vous pouvez prétexter votre santé ou la chaleur.

Réalisez le tout en quelques jours

Pour un employé donnant un bon rendement, se faire virer peut demander une persévérance. Faites alors une suite des éléments cités ci-dessus en plusieurs jours et soyez sûr d’avoir gagné.

Ajoutez-y des plaintes et actions répétées, comme calculer avec le responsable des ressources humaines le nombre de jours de vacances qu’il vous reste et comment vous faire payer ou se plaindre de ne pas avoir le salaire brut qui vous convient. Après ces actions, ne vous inquiétez plus, votre objectif sera atteint. Vous pourrez alors profiter des assedic (profitez en pour simuler votre chômage sur cette page)

25/11/2018 Nico

Le licenciement est une rupture de contrat de travail à l’initiative de l’employeur. Dans tous les cas, l’employeur est tenu de motiver les raisons de cette décision unilatérale. Une rupture de contrat ne peut intervenir sans motif réel et sérieux. Pourtant, il arrive parfois que ce soit le salarié lui-même qui se mette, volontairement ou non, en faute. C’est notamment le cas lorsqu’il ne justifie pas de son absence auprès de sa hiérarchie.

L’absence injustifiée, l’une des principales causes de licenciement

L’absence injustifiée est sans nul doute l’une des principales causes qui permettent à l’employeur de rompre unilatéralement un contrat de travail. On peut rapprocher cela à l’abandon de poste. Le salarié n’effectuant plus la tâche qui lui est confiée dans le cadre de son emploi, il peut aisément mettre en péril le fonctionnement d’une équipe ou d’une structure.

L’employeur peut donc facilement justifier de son droit à la rupture du contrat et notamment invoquer une faute, qui pourrait avoir des répercussions sur le versement d’indemnités de licenciement ou le droit aux allocations chômage du salarié fautif. Cependant, un licenciement pour absence injustifiée peut, dans des cas très rares, être soumis au Conseil des Prud’hommes en vue d’une requalification en licenciement nul ou sans cause réelle et sérieuse.

Une requalification du licenciement suite à une absence injustifiée reste rare

Si le salarié ayant été licencié pour absence injustifiée souhaite saisir les Prud’hommes, c’est techniquement possible, il faudra pour cela vous faire accompagner par un avocat en droit du travail. Cependant, il convient de préciser que les motifs de l’absence ayant occasionné le licenciement doivent être suffisamment précis et importants pour le Conseil.

Si au cours de l’instruction, il apparaît que l’employeur n’a pas été suffisamment de bonne foi, cette juridiction peut statuer sur la nullité du licenciement. Gardons toutefois à l’esprit que ce cas reste rarissime, puisque la non-justification de l’absence est un des motifs sérieux du licenciement, généralement repris dans le contrat de travail du salarié.