21/09/2023 Nico

L’engagement des collaborateurs est un indicateur clé des relations entre les employés et l’entreprise. Un collaborateur engagé contribue davantage à la réussite de sa société : il innove et a plus de chance de rester fidèle à son employeur. À l’inverse, un manque d’engagement peut entraîner une baisse de la productivité, du moral et de la rétention des employés.

La première étape pour définir une politique d’engagement collaborateur débute par le choix des indicateurs de performance clés, tels que la mesure de la satisfaction des employés, le turnover etc.

La question est : comment choisir les bons indicateurs ? Chaque entreprise est différente et les indicateurs de performance clés dépendent de vos objectifs, de votre taille et du secteur d’activité de votre entreprise.

Voici une liste d’indicateurs que vous pouvez utiliser pour évaluer l’engagement de vos équipes.

 

Les 6 meilleurs indicateurs pour mesurer l’engagement des employés

1. Le NPS

Le NPS ou Net Promoter Score a été introduit pour mesurer le niveau de satisfaction et de fidélité des clients. Néanmoins, il est aujourd’hui utilisé en interne par les employeurs. La question posée est simple : « À quel point recommanderiez-vous votre entreprise à un ami ou à un collègue ? »

La question est évaluée sur une échelle allant de 0 à 10. Toute personne répondant de 0 à 6 est considérée « détracteur », de 7 à 8 « passive », et de 9 à 10 « promoteurs ».

 

2. Le taux de rotation

Le turnover traduit la capacité de votre organisation à attirer et à conserver ses collaborateurs. La mesure du turnover permet notamment de faire des comparaisons. Par exemple, vous pouvez évaluer la « santé » d’un département à l’autre. Vous avez plus de départs dans un département en particulier ? Quelle est la source du problème ?

 

3. Les recrutements réussis après une période d’essai

L’indicateur des recrutements réussis peut en dire long sur la réussite des processus d’intégration. Il s’agit du pourcentage de personnes qui restent dans l’organisation après leur période d’essai de 3 à 6 mois. Si ces derniers quittent la société dans ce laps de temps, cela peut témoigner soit d’un manque de compétence pour le poste en question, soit d’une intégration qui n’a pas été réussie par l’entreprise.

 

4. Taux de promotion interne

L’une des principales motivations de l’engagement des employés est la possibilité d’évolution au sein de l’organisation. Ainsi, mesurer le taux de promotion en interne est important, car il représente la capacité des organisations à conserver leurs meilleurs talents et à les faire évoluer.

 

5. Taux d’absentéisme

L’absentéisme a une influence directe sur la satisfaction des employés. Quand une personne ne se présente pas au travail, cela a un impact négatif sur l’ensemble de l’équipe, se traduisant par une expérience employée dégradée. Un taux élevé d’absentéisme peut signaler un manque de motivation et de productivité de la part des travailleurs.

 

Quelques bonnes pratiques pour favoriser l’engagement des collaborateurs

1. Flexibilité

35% des employés considèrent le manque de flexibilité des horaires comme un obstacle à leur retour au bureau. Étant donné que les politiques rigides peuvent être tout simplement frustrantes, offrez autant de flexibilité que possible, comme des horaires personnalisés et un travail hybride. N’oubliez pas que vos employés ont une vie personnelle en dehors du travail, leur offrant la possibilité de concilier travail et vie personnelle les aidera à se sentir plus heureux et à mieux performer dans leur rôle.

 

2. Interrogez régulièrement les employés

Vous pensez peut-être que vous faites tout ce qu’il faut pour améliorer l’expérience de vos collaborateurs, mais comment en être certain ?

Le moyen le plus simple de comprendre et d’améliorer le sentiment d’appartenance de vos employés est de leur poser directement la question.

Envoyez des sondages régulièrement pour évaluer leur ressenti vis-à-vis de leur expérience au sein de votre entreprise. Souhaitent-ils retourner au bureau ? Se sentent-ils épuisés ?

 

3. Offrez des opportunités d’apprentissage et de développement

Investir dans les compétences des employés est un moyen efficace d’améliorer leur expérience au travail et de les valoriser.

Vous pouvez :

  • proposer une allocation de formation
  • faire intervenir des formateurs pour réaliser des formations en équipe
  • envisager des séances de mentorat.

En mettant en œuvre ces pratiques, vous pourrez créer un environnement professionnel qui valorise vos employés et leur offre un sentiment d’épanouissement et de bien-être. Cela va permettre de stimuler leur engagement et leur productivité, contribuant ainsi à la réussite globale de votre organisation.

Pour savoir si ces pratiques sont efficaces, vous pourrez les mesurer via les KPIs mentionnés précédemment ou grâce à un outil comme FlexTeam.

01/09/2023 Nico

Après les salaires, l’immobilier est le deuxième poste de dépenses des entreprises. Selon l’étude Buzzy Ratios de l’IDET, un poste de travail coûte en moyenne 12 000 euros par an. Ainsi, les modes de travail hybrides permettent donc de réaliser des économies majeures. Nos clients ont réalisé 15% d’économies en combinant des capteurs d’occupation et des modes de travail hybrides.

Si les économies immobilières sont prioritaires pour la majorité des organisations, l’investissement dans des espaces de travail de haute qualité est également devenu un enjeu important. Proposer un environnement de travail attractif joue un rôle clé dans l’engagement des collaborateurs, ainsi que dans l’attraction et la rétention des talents.

Comment les entreprises peuvent-elles relever les nouveaux défis et trouver le bon équilibre entre économies et investissement dans l’environnement de travail ? Et comment les capteurs d’occupation peuvent aider à créer un bureau flexible qui réponde à ces attentes ?

La mesure du taux d’occupation devient indispensable à la gestion des espaces de travail

Selon une enquête d’Eurofound, le télétravail continue de se développer. En Europe, le nombre de personnes qui télétravaillent a doublé depuis 2019. Au Danemark, en Suède, en Finlande, au Luxembourg et aux Pays-Bas, plus d’un tiers des travailleurs pratiquent le télétravail. Il est désormais clair que le travail hybride a bouleversé le monde du travail et que les besoins des salariés ont changé.

La transformation vers un modèle de travail hybride a été une source de conflit, de frustration et parfois même de désengagement pour les salariés, et l’est toujours, car toutes les organisations n’ont pas réussi à mettre en œuvre ces modèles de travail dynamiques. Le défi consiste à prévoir l’utilisation de l’espace afin de prendre les bonnes décisions en fonction des attentes des employés. Sans données permettant de mesurer l’occupation réelle des bureaux, il est difficile de mettre en œuvre un modèle de travail hybride. Prendre des décisions en l’absence de données a pour conséquence :

  • Une inadéquation entre les besoins immobiliers et les besoins organisationnels ;
  • Une baisse de la satisfaction des employés et de l’attractivité de l’environnement de travail ;
  • Un décalage entre les nouvelles méthodes de travail et une culture d’entreprise favorable.

Aujourd’hui, la gestion de l’occupation est essentielle pour les organisations qui souhaitent offrir une flexibilité maximale de l’espace dans l’ensemble de leur portefeuille immobilier. C’est là que les capteurs de mesure de l’occupation entrent en jeu : ils permettent aux facility managers et aux responsables de l’environnement de travail de mieux comprendre l’utilisation des bâtiments, des salles de réunion et des espaces de travail.

Vous souhaitez améliorer et optimiser la gestion de vos espaces de travail ?

Les avantages des capteurs d’occupation sans fil pour l’immobilier

Les capteurs d’occupation mesurent l’utilisation réelle des bureaux et envoient des données en temps réel sur l’occupation des bâtiments aux gestionnaires immobiliers via une plateforme en ligne. Ces données sont affichées sur des tableaux de bord spécialement conçus pour fournir des informations exploitables sur l’utilisation des bâtiments.

Les capteurs d’environnement de travail aident les gestionnaires d’immeubles et les responsables de l’environnement de travail à :

  • Mesurer, analyser et comparer l’occupation réelle des espaces de travail ;
  • Trouver et communiquer les espaces disponibles en temps réel ;
  • Améliorer l’expérience de l’environnement de travail en répondant aux besoins des employés ;Analyser l’utilisation du portefeuille et des services (par exemple, les cantines, les étages).

L’utilisation de technologies de capteurs sans fil permet une installation rapide et facile, même lorsque les espaces sont occupés, sans interrompre les activités en cours. Le temps et le coût de déploiement des capteurs sans fil sont inférieurs à ceux des capteurs câblés. De plus, les capteurs sans fil peuvent facilement être déplacés vers d’autres lieux ou bâtiments si nécessaire.

Vous souhaitez en savoir plus sur les capteurs sur le lieu de travail et sur la manière dont vous pouvez les connecter à une plateforme IoT répondant aux exigences de votre organisation ?

Les capteurs de mesure de l’occupation vont permettre de mieux comprendre comment sont utilisés les surfaces des immeubles. En particulier, les surfaces des espaces de travail et les salles de réunion. Cela peut être précieux comme information pour l’aménagement d’actuels ou de futurs bâtiments.

Fiabilité des données

Contrairement aux données déclaratives, les capteurs d’occupation fournissent des données fiables sur l’utilisation des différents espaces. Un employé peut avoir réservé un poste de travail pour une demi-journée et une salle de réunion pour la même période. Le temps réel d’utilisation du poste de travail est donc minime sans capteur.

Une solution non intrusive pour les employés

Les employés sont déjà confrontés à de nombreuses contraintes dans leur travail quotidien : badges, systèmes de contrôle d’accès, scans, validation de présence, etc. L’essentiel est de simplifier au maximum les procédures. Il faut simplifier au maximum les procédures et opter pour une solution non intrusive et rapide à installer.

Tenir compte des pics d’occupation occasionnels

Certains jours seront plus intenses et plus denses en termes d’occupation. Les employés peuvent mettre du temps à trouver un endroit où travailler, alors que cela pourrait être évité. Grâce aux capteurs, il sera alors possible de connaître en temps réel l’occupation des postes de travail et des salles de réunion.

Connaître l’utilisation réelle des salles de réunion

De nos jours, les employés reviennent au bureau pour se retrouver et voir leurs collègues. Les salles de réunion deviennent donc une priorité. Si les salles de réunion sont surchargées, cela peut devenir un problème. Une meilleure compréhension de leur utilisation permettra de déterminer si les différents espaces répondent aux attentes des employés.

Une offre qui répond aux enjeux actuels des entreprises

Les capteurs Ubigreen permettent de couvrir tous les aspects du bureau flexible : détection de présence, comptage de personnes, utilisation du restaurant d’entreprise ou du parking, etc. Ils permettent de trouver en un clin d’œil les espaces dont un employé a besoin en affichant en temps réel l’occupation des différents espaces. Ils constituent également des outils d’aide à la décision pour identifier les améliorations possibles, gérer les espaces de travail au quotidien et anticiper les futurs projets immobiliers.

Des capteurs adaptés à chaque usage

Mesurer l’occupation de l’espace de travail : Ubigreen Smart Desk

Le Smart Desk est un capteur qui calcule l’occupation, la présence et la température, et mesure le taux d’occupation des espaces de travail. Il est placé directement et discrètement sous chaque poste de travail, mais ne collecte aucune donnée personnelle sur les employés. Il est entièrement conforme au RGPD.

Les capteurs se déclenchent lorsqu’ils détectent des mouvements ou de la chaleur autour du poste de travail, mais ne collectent aucune donnée personnelle sur les employés.
De plus, le capteur de mesure d’occupation est un capteur sans fil qui se connecte au réseau bas débit LPWAN (LoRa, Sigfox), largement déployé dans le monde, offrant ainsi une solution de télérelève transnationale ne nécessitant absolument aucune infrastructure spécifique pour récupérer les données.

Le capteur Smart Desk est embarqué dans un dispositif algorithmique qui permet de l’adapter à des besoins spécifiques, tout en conservant une simplicité d’utilisation maximale. Un grand nombre de paramètres sont disponibles pour permettre de le configurer selon des principes de fonctionnement. À titre d’exemple, la gestion de la levée de doute (élément paramétrable) prend en compte les cas où l’occupant d’un poste de travail se déplace (réunion, café, etc.) mais souhaite maintenir le poste de travail occupé.

Pour connaître le taux d’occupation et de remplissage de vos salles de réunion : Ubigreen Smart Room

Le capteur de mesure de flux et de comptage de personnes est adapté à la gestion des taux d’occupation des salles de réunion. Il est capable de compter de manière précise et anonyme le nombre d’utilisateurs dans une salle de réunion.
Ce capteur sans fil s’installe simplement sur le cadre de la porte et compte les personnes qui entrent et sortent du passage concerné. Plusieurs capteurs peuvent être combinés si la salle en question possède plusieurs entrées.

Pour analyser en profondeur la fréquentation de ses sites : Ubigreen Smart Flow

Basé sur la technologie stéréoscopique (reconstitution d’une image en 3D), le capteur Smart Flow 3D dernière génération permet :

Le COMPTAGE de personnes avec une grande précision (jusqu’à 99%) pour des applications d’étude de fréquentation.

Le DENOMBREMENT multidirectionnel afin de définir un flux de passage dans un espace (dénombrement précis de la direction prise par chaque personne à une intersection).

Le capteur Smart Flow 3D permet d’analyser la fréquentation des bâtiments pour comprendre comment sont utilisés les différents espaces :

  • Accès bâtiments,
  • Étages, services etc.
  • Restaurants d’entreprise,
  • Espaces de convivialité etc.

Pour conclure…

Grâce aux données des capteurs, les données du logiciel d’analyse des espaces de travail permettent de comprendre comment les salariés utilisent les espaces. Adaptés à tout type d’espace, ils permettent de visualiser l’occupation en temps réel.

Après quelques semaines, les premières données permettent déjà de mieux comprendre les usages et les modes de travail. Les capteurs Ubigreen peuvent s’intégrer à tout écosystème comme un BOS ou une API tierce.

Les données sont traitées dans une plateforme SaaS construite par des experts en data science pour permettre de comprendre, gérer et anticiper les usages des collaborateurs.
Ainsi, des informations précises permettent de décider comment optimiser les surfaces tout en améliorant l’expérience des salariés au bureau.

20/07/2023 Nico

L’évolution constante du paysage professionnel a vu l’émergence de nouvelles formes d’organisation du travail, dont le travail hybride – mélange entre télétravail et bureau – s’est révélé être l’une des plus populaires.

Cela offre aux entrepreneurs en particulier une flexibilité sans précédent dans la manière dont ils gèrent leur entreprise et leur équipe, permettant une répartition optimale des ressources entre le travail à domicile et le travail sur site.

Mais cette nouvelle approche présente également son propre ensemble de défis uniques.

Les Défis du Travail Hybride pour les Entrepreneurs

L’un des plus grands défis de la mise en place d’un modèle de travail hybride est la coordination des équipes de travail.

Lorsque les membres de l’équipe travaillent à distance ou suivent des horaires flexibles, il peut être difficile de maintenir une communication fluide et une collaboration efficace.

De plus, la « paranoia » de la productivité peut devenir un problème, tout comme la nécessité de garantir que toutes les parties concernées ont un accès constant et fiable à toutes les ressources et informations nécessaires pour accomplir leur travail.

Les Outils du Travail Hybride

Dans ce contexte, des outils spécifiques pour le travail hybride sont devenus indispensables.

Ces outils numériques offrent une variété de fonctionnalités conçues pour faciliter la gestion des équipes et des projets dans un environnement de travail hybride.

Ils permettent, par exemple, de visualiser la présence des membres de l’équipe, de gérer l’espace de travail, et de synchroniser automatiquement les calendriers. C’est par exemple ce que propose m-work, outil de gestion du travail hybride intégré aux outils des entreprises.

En ayant une vue en temps réel et à l’avance sur « Qui vient, quand ? », les entrepreneurs et leurs équipes gagnent au quotidien un temps précieux.

Gestion Optimale des Équipes dans le Travail Hybride

L’un des principaux avantages des outils de travail hybride est leur capacité à améliorer l’organisation des équipes de travail, que ce soit avec des collaborateurs, des freelances, ou toute partie prenante à l’entreprise.

Grâce à des fonctionnalités comme la visualisation de présence, les managers peuvent savoir à tout moment où se trouvent les membres de leur équipe, qu’ils travaillent à domicile ou au bureau.

De plus, la possibilité de planifier facilement des semaines de travail en fonction de divers facteurs, tels que les jours de télétravail, les rendez-vous extérieurs ou les jours au bureau, permet d’optimiser l’organisation de l’entreprise et d’assurer un haut niveau de productivité.

Personnalisation des Fonctionnalités de Travail Hybride

Les outils de travail hybride offrent également une grande flexibilité en termes de personnalisation.
Ils peuvent être adaptés pour répondre aux besoins spécifiques de chaque entreprise, avec des options pour ajuster le nombre de jours de congé ou de télétravail autorisés, par exemple.

Cette flexibilité peut être un atout précieux pour les entrepreneurs, leur permettant de structurer leur entreprise d’une manière qui correspond à leurs propres besoins et priorités, tout en respectant les exigences légales et réglementaires.

Adaptation aux Besoins des Petites Structures

Ces outils de travail hybride ne sont pas seulement utiles pour les grandes entreprises. Ils sont également extrêmement précieux pour les petites structures et les entrepreneurs, offrant des fonctionnalités simples, intuitives et ergonomiques qui peuvent faciliter grandement la gestion de l’entreprise.

Les petites entreprises ont souvent besoin de réagir rapidement aux changements et d’être capables de s’adapter rapidement à de nouvelles situations, et un outil de travail hybride bien conçu peut leur permettre de le faire.

Collaboration Efficace grâce au Travail Hybride

Dans un environnement où les petites entreprises et les entrepreneurs travaillent souvent avec de nombreuses petites équipes, la communication et la collaboration efficaces sont cruciales.

Si les outils sont indispensables, mettre en place des rituels et process afin de conserver un haut niveau de collaboration est très important. Cela peut passer par des daily meetings, des processus de communication asynchrones, etc.

Suivre et apprendre du travail hybride

Le travail hybride est un processus itératif. Son organisation ne doit pas être vue comme figée ou gravée dans le marbre, mais constamment s’adapter aux nouveaux besoins des collaborateurs.

Les outils sont particulièrement pertinents dans ce cas, en ayant une visibilité sur les habitudes des équipes, permettant de détecter des signaux faibles ou problématiques liés au travail hybride – manque de place, ou au contraire, trop peu de venues créant de l’isolement, etc.

Découvrir m-work qui permet de suivre les données de travail hybride

Un chemin ouvert vers de nouveaux modes de travail

La mise en place d’un modèle de travail hybride peut offrir de nombreux avantages aux entrepreneurs et aux petites entreprises, mais elle nécessite également une planification soigneuse et l’utilisation d’outils appropriés.

En utilisant efficacement ces outils, les entrepreneurs peuvent maximiser la productivité, améliorer la collaboration, optimiser l’utilisation des ressources et s’adapter de manière flexible aux défis et opportunités auxquels ils sont confrontés !

05/06/2023 Nico

Vous avez une idée d’entreprise en tête ? Vous êtes maintenant prêt à vous lancer dans les démarches nécessaires pour devenir entrepreneur et créer des locaux en Wallonie ! La création d’entreprise implique des démarches administratives préalables qui diffèrent en fonction de la nature de votre activité et de la structure juridique que vous choisissez.

Quelles sont les conditions pour entreprendre en Wallonie ?

Pour créer son entreprise en Belgique, le travailleur indépendant doit tout d’abord respecter quelques conditions légales :

– Être âgé de plus de 18 ans.
– Être en possession de ses droits politiques et civils.
– Prouver ses connaissances en gestion de base.
– Posséder la nationalité Belge, Suisse ou celle d’un Etat membre de l’EEE.
– Ne pas être soumis à un contrôle judiciaire, ni être légalement incapable.
– Ne pas faire l’objet d’une interdiction d’exercer une activité liée au commerce.

Conditions liées à l’entreprise

D’autres conditions pour créer son entreprise sont liées à l’entreprise. Vous devez :

– Être détenteur des licences et autorisations spécifiques à la catégorie visée
– Disposer des capacités entrepreneuriales en lien avec la gestion et des compétences professionnelles liées à la profession.
– Remplir aux conditions d’exercice du métier et obtenir le port du titre lié si votre métier en exige un.

Indépendant principal ou indépendant complémentaire ?

En belgique, il existe 2 types d’indépendances entrepreneuriales. Les indépendants à titre principal et les indépendants à titre complémentaire. Ils présentent diverses distinctions, mais leurs obligations légales restent plutôt similaires.

Indépendant principal

Les travailleurs indépendants à titre principal sont des professionnels qui exercent une activité lucrative sans être liés par un contrat de travail ou un employeur. En d’autres termes, ils sont leur propre employeur. Sur le plan de la sécurité sociale, ils sont considérés comme des travailleurs indépendants. Par conséquent, ils sont responsables du paiement des cotisations sociales et doivent s’affilier à une caisse d’assurance maladie. Ces démarches ne sont pas nécessaires pour les salariés du secteur public ou privé.

Un travailleur indépendant principal bénéficie de certains droits tels que l’assurance maladie-invalidité, les prestations sociales, la pension, l’assurance maternité ou le droit de passerelle. Cependant, en raison de leur statut particulier, les travailleurs indépendants ne bénéficient pas des avantages sociaux accordés aux travailleurs indépendants à titre complémentaire.

Indépendant complémentaire

Les travailleurs indépendants à titre complémentaire ont la possibilité d’exercer une activité à titre complémentaire lorsqu’elle est exercée simultanément avec une autre activité professionnelle sous contrat et pour un employeur. Cette activité peut également être complémentaire si elle génère des revenus de remplacement en cas d’arrêt d’exercice lié à une autre activité en tant qu’agent de l’Etat ou salarié. Ainsi, les travailleurs indépendants peuvent exercer cette activité en parallèle d’une autre activité dans des domaines tels que l’enseignement, la fonction publique ou en tant que salarié.
Les indépendants complémentaires ont les mêmes obligations légales que les indépendants exerçant à titre principal. Ils doivent donc s’affilier à une caisse d’assurance spécifique et payer des cotisations sociales trimestriellement. Cependant, les travailleurs indépendants à titre complémentaire continuent de bénéficier des avantages sociaux liés au régime auquel ils sont affiliés tels que les fonctionnaires, les salariés ou les pensionnés. Cela inclut les mêmes prestations que l’indépendant principal.

Quelle forme juridique pour entreprendre en Wallonie ?

Une fois votre type d’indépendance choisi, vous devez définir votre forme juridique qui respecte les lois en vigueur. Il vous revient de considérer les risques et les avantages de chaque statut en fonction de votre activité et de votre situation particulière.

2 formes juridiques se démarquent :

L’entreprise individuelle

L’avantage principal de l’entreprise individuelle est de n’avoir, même en cas de faillite, aucune dette à rembourser. Si aucune acquisition de matériel ou investissement n’a été effectuée lors de la création de leur activité, ils n’ont pas d’obligations financières envers des créanciers et peuvent donc fermer leur entreprise sans que leur patrimoine soit touché ou affecté. L’entreprise individuelle peut donc être une option adaptée à certaines professions ayant un certain risque.

La société

La société est la forme juridique la moins présente en Wallonie. En tant que société, les travailleurs indépendants prennent des risques plus importants et contractent des emprunts pour financer et créer leur entreprise. Selon les investissements réalisés et les projets en cours, ils peuvent préférer opter pour un statut qui protège leurs intérêts en cas de difficultés et choisir le statut de société. Chaque entreprise est unique et ce choix de statut devrait être soumis à une étude personnalisée. Cependant, il est possible de changer de forme juridique en fonction de l’évolution de l’activité. Dans certains cas, il est même possible de coexister en tant qu’entreprise individuelle et société.

Quelles sont les démarches pour créer son entreprise en Wallonie ?

Après avoir défini votre forme juridique, vous devrez constituer votre entreprise par un acte constitutif enregistré et déposé. Ce document est obligatoire à la création d’une entreprise.

Votre entreprise doit ensuite être inscrite auprès d’un guichet d’entreprises et vous devrez être détenteur d’un compte bancaire dédié à votre entreprise avant de vous identifier à la TV. Attention cependant aux obligations à respecter en matière de TVA

28/04/2023 Nico

Les contrats sont une partie intégrante de la vie professionnelle et personnelle. Que vous soyez employeurou employé, il est essentiel de comprendre les différentes fins de contrat qui existent et les implications qui en découlent.

Dans cet article, nous vous proposons un guide complet sur les différentes fins de contrat, y compris les types de contrats les plus couramment utilisés, les conditions de fin de contrat, et les droits et responsabilités associés à chaque type de fin de contrat.

La Fin de Contrat à Terme

La fin de contrat de travail à terme est l’une des formes les plus courantes de fin de contrat. Elle se produit lorsque le contrat a une date d’échéance prédéterminée. Une fois que cette date est atteinte, le contrat se termine automatiquement, à moins qu’il ne soit renouvelé ou prolongé. Il est important de noter que, sauf indication contraire dans le contrat, aucune notification préalable n’est requise pour mettre fin à un contrat à terme à sa date d’échéance. Cependant, il est généralement recommandé de prévoir un préavis raisonnable dans le contrat pour éviter tout litige éventuel.

La Fin de Contrat à Durée Indéterminée

La fin de contrat à durée indéterminée se produit lorsque le contrat ne spécifie pas de date d’échéance. Dans ce cas, le contrat continue jusqu’à ce que l’une des parties décide de le résilier en donnant un préavis approprié. Le préavis peut être déterminé par la loi du pays ou de l’État dans lequel vous vous trouvez, ou il peut être spécifié dans le contrat lui-même. Il est important de respecter les délais de préavis appropriés, car ne pas le faire peut entraîner des conséquences légales, y compris des indemnités de départ ou des litiges.

La Rupture de Contrat Anticipée

La rupture de contrat anticipée se produit lorsque l’une des parties décide de mettre fin au contrat avant son échéance. Cela peut se produire pour diverses raisons, telles que le non-respect des conditions du contrat, des performances insatisfaisantes, ou des circonstances imprévues. Dans de tels cas, il est important de se conformer aux clauses de résiliation anticipée spécifiées dans le contrat, qui peuvent inclure des frais de résiliation, des délais de préavis, ou d’autres conditions.

La Résiliation de Contrat pour Juste Cause

La résiliation de contrat pour juste cause se produit lorsqu’une partie met fin au contrat en raison d’un comportement inapproprié ou d’une violation grave des conditions du contrat par l’autre partie. Dans ce cas, la partie mettant fin au contrat doit pouvoir démontrer que la résiliation est justifiée en fournissant des preuves solides de la violation ou du comportement inapproprié. Il est important de se conformer aux procédures légales appropriées lors de la résiliation pour juste cause, pour éviter tout litige potentiel.

La Résiliation de Contrat d’un Commun Accord

La résiliation de contrat d’un commun accord se produit lorsque les deux parties conviennent de mettre fin au contrat avant son échéance. Cela peut se produire pour diverses raisons, telles que des changements dans les circonstances ou des objectifs modifiés. Dans ce cas, les deux parties doivent être d’accord sur les termes de la résiliation, y compris les conditions financières, les délais de préavis, et autres modalités spécifiques. Il est essentiel de documenter cet accord par écrit pour éviter tout malentendu ultérieur.

La Fin de Contrat en Cas de Force Majeure

La fin de contrat en cas de force majeure se produit lorsque le contrat est résilié en raison d’événements imprévus et indépendants de la volonté des parties, tels que des catastrophes naturelles, des guerres, ou des troubles civils. Dans de tels cas, les parties sont généralement exonérées de toute responsabilité envers l’autre partie et le contrat est résilié sans préavis. Il est important de consulter les dispositions spécifiques du contrat pour déterminer si la force majeure est une clause incluse et quels sont les droits et obligations des parties en cas d’événements de force majeure.

La Fin de Contrat en Cas de Faillite ou de Liquidation

La fin de contrat en cas de faillite ou de liquidation se produit lorsque l’une des parties fait faillite ou liquide ses actifs. Dans de tels cas, le contrat peut être résilié automatiquement, conformément aux lois applicables en matière de faillite ou de liquidation. Il est important de consulter un avocat ou un conseiller juridique pour comprendre les implications légales et les droits des parties dans de telles situations.

Il est essentiel de comprendre les différentes fins de contrat qui existent et les implications légales qui en découlent. Que vous soyez employeur ou employé, il est important de se familiariser avec les types de fins de contrat les plus courantes, les conditions de fin de contrat, les droits et responsabilités associés à chaque type de fin de contrat, et de se conformer aux lois applicables et aux clauses spécifiques du contrat. En cas de doute, il est toujours recommandé de consulter un avocat ou un conseiller juridique pour obtenir des conseils professionnels.

Pour calculer vos indemnités après une fin de contrat : http://duflan.com/calcul-indemnites-pole-emploi/

28/04/2023 Nico

La gestion du temps et des priorités est un enjeu majeur pour les professionnels d’aujourd’hui. Dans un environnement de travail de plus en plus exigeant, savoir organiser son temps et hiérarchiser ses tâches est essentiel pour optimiser sa productivité et préserver son équilibre professionnel.

Dans cet article, nous vous proposons de découvrir les clés pour une bonne gestion du temps et des priorités au sein de l’entreprise. Nous aborderons notamment l’identification et la hiérarchisation des priorités, la planification et l’organisation du temps de travail, l’optimisation de l’environnement de travail, et le développement de bonnes habitudes de travail.

Identifier et hiérarchiser ses priorités

Pour bien gérer son temps, il est primordial de comprendre ses objectifs professionnels et les priorités de l’entreprise. Cela permet de répartir les tâches en fonction de leur importance et de leur urgence, grâce à des outils tels que la matrice d’Eisenhower.

Importance et urgence des tâches

L’importance d’une tâche se réfère à son impact sur les objectifs à long terme, tandis que l’urgence concerne les échéances à court terme. Par exemple, préparer un rapport pour un client est une tâche importante et urgente, tandis que répondre à des e-mails peut être moins important mais tout de même urgent.

Utiliser la matrice d’Eisenhower pour prioriser

La matrice d’Eisenhower est un outil de gestion du temps qui permet de classer les tâches en fonction de leur importance et de leur urgence. Elle se compose de quatre quadrants :

  • Quadrant 1 : tâches importantes et urgentes (à faire immédiatement)
  • Quadrant 2 : tâches importantes mais non urgentes (à planifier)
  • Quadrant 3 : tâches non importantes mais urgentes (à déléguer si possible)
  • Quadrant 4 : tâches non importantes et non urgentes (à éviter ou minimiser)

En appliquant cette matrice dans votre travail, vous pourrez mieux prioriser vos tâches et vous concentrer sur ce qui est vraiment important.

Planifier et organiser son temps de travail

La planification et l’organisation du temps de travail sont essentielles pour une gestion efficace du temps. Il existe de nombreux outils pour vous aider à planifier votre emploi du temps, tels que les agendas, les calendriers partagés ou les applications de gestion du temps.

Planifier à court, moyen et long terme

Il est important de planifier son travail sur différentes échelles de temps. La méthode SMART (Spécifique, Mesurable, Atteignable, Réaliste, Temporellement défini) peut vous aider à définir des objectifs clairs et réalisables. La méthode GTD (Getting Things Done) est également une approche populaire pour gérer ses tâches et ses projets.

Utiliser les outils adaptés à sa situation

Il existe de nombreux outils de planification et d’organisation, tels que Trello, Asana ou Google Agenda. Chacun d’entre eux présente des avantages et des inconvénients, il est donc important de choisir celui qui correspond le mieux à vos besoins et à ceux de votre équipe. Il est également important de réserver du temps pour des tâches imprévues et pour des moments de pause afin de ne pas se surcharger.

Optimiser son environnement de travail

Un environnement de travail bien aménagé peut favoriser la concentration et l’efficacité. L’aménagement de l’espace de travail, y compris le choix du mobilier de bureau, est un élément clé pour optimiser la gestion du temps.

L’importance d’un bureau ergonomique

Un bureau ergonomique, équipé d’un siège adapté et de rangements appropriés, permet de travailler plus confortablement et efficacement. Un bureau réglable en hauteur, par exemple, peut vous aider à adopter une posture saine et à prévenir les problèmes de dos.

Les différents types d’espaces de travail

Open space, bureaux individuels ou espaces de coworking : chaque type d’espace de travail présente des avantages et des inconvénients. L’open space favorise la collaboration et la communication, mais peut aussi être source de distractions. Les bureaux individuels offrent plus d’intimité, tandis que les espaces de coworking permettent de partager des ressources et de bénéficier d’un réseau professionnel. Il est important de choisir le type d’espace adapté à vos besoins et à ceux de votre équipe. Enfin, il est important de personnaliser son environnement de travail en fonction de ses préférences et de ses besoins. L’ajout de plantes, de photos ou de couleurs peut contribuer à créer un environnement de travail agréable et stimulant.

Développer de bonnes habitudes de travail

Pour bien gérer son temps, il est essentiel de développer de bonnes habitudes de travail, telles que l’établissement de routines et le respect d’horaires réguliers.

Gérer les interruptions et les distractions

Les distractions et les interruptions peuvent nuire à votre productivité. Pour les limiter, identifiez les sources de distraction (notifications, bruits, interruptions) et mettez en place des solutions pour les réduire, comme le mode « ne pas déranger » sur votre téléphone ou des écouteurs antibruit.

Prendre des pauses régulières et gérer son énergie

La technique Pomodoro consiste à travailler pendant 25 minutes, puis à prendre une pause de 5 minutes. Cette méthode permet de mieux gérer son énergie tout au long de la journée et d’éviter le surmenage. N’oubliez pas de prendre également des pauses plus longues pour déjeuner ou vous détendre. Il est également important de communiquer avec ses collègues et son supérieur hiérarchique pour éviter les malentendus et les surcharges de travail.

En suivant ces conseils, vous pourrez améliorer votre gestion du temps et des priorités au sein de l’entreprise. N’hésitez pas à expérimenter et à adapter ces techniques selon vos besoins et vos contraintes professionnelles. Un environnement de travail adapté, y compris un bon choix de mobilier de bureau, est également essentiel pour une gestion optimale du temps et une productivité accrue. Enfin, le développement de bonnes habitudes de travail permet de maintenir une productivité élevée sur le long terme.

14/04/2023 Nico

En raison de la nature essentielle de la maintenance pour le bon fonctionnement des infrastructures et des équipements, le secteur de la maintenance offre généralement des opportunités d’emploi stables et constantes.

Cependant, la situation de l’emploi dans ce secteur peut varier selon les industries et les régions. Par exemple, les opportunités d’emploi dans la maintenance des avions peuvent être différentes de celles dans la maintenance des équipements de production industrielle.

En générale, il y a une forte demande pour les professionnels de la maintenance qualifiés et expérimentés, tels que les techniciens de maintenance, les ingénieurs de maintenance et les spécialistes de la fiabilité. Cela est particulièrement vrai dans les industries qui utilisent des équipements complexes et coûteux, tels que l’industrie manufacturière, les services publics, le secteur de l’énergie et l’industrie aérospatiale.

Cependant, la concurrence pour les postes dans le secteur de la maintenance peut également être forte, en particulier pour les postes hautement qualifiés. Les candidats qui possèdent une formation spécialisée, une certification professionnelle et une expérience pertinente auront probablement un avantage sur les autres candidats.

 

Quelles sont les compétences nécessaires pour travailler dans la maintenance ?

Les compétences nécessaires pour travailler dans la maintenance dépendent du type de maintenance et du domaine d’application. Cependant, voici quelques compétences générales qui sont importantes pour travailler dans ce domaine :

  • Compétences techniques : La maintenance implique souvent des travaux techniques, donc il est important d’avoir des connaissances en électricité, en mécanique, en hydraulique, en pneumatique, en informatique industrielle, etc. selon le domaine d’application.
  • Capacité d’analyse et de résolution de problèmes : Les professionnels de la maintenance doivent être capables d’analyser les problèmes, de les diagnostiquer et de les résoudre de manière efficace et rapide.
  • Bonne connaissance des équipements et des outils : Les professionnels de la maintenance doivent connaître les équipements et les outils utilisés pour effectuer les travaux de maintenance.
  • Connaissance des normes et réglementations : Les professionnels de la maintenance doivent être conscients des normes et réglementations applicables dans leur domaine pour assurer la sécurité et la conformité.
  • Capacité de travail en équipe : Les professionnels de la maintenance travaillent souvent en équipe, il est donc important de savoir collaborer efficacement avec les autres membres de l’équipe.
  • Bonne communication : Les professionnels de la maintenance doivent être capables de communiquer efficacement avec les clients et les autres membres de l’équipe pour expliquer les problèmes et les solutions.
  • Autonomie : Les professionnels de la maintenance doivent être capables de travailler de manière autonome, de prendre des décisions et de gérer leur temps de travail.

Quelles études faire pour entrer dans la maintenance ?

Les études nécessaires pour entrer dans le domaine de la maintenance dépendent du type de poste visé et de l’industrie dans laquelle vous souhaitez travailler.

Pour de nombreux postes dans la maintenance, une formation professionnelle ou une certification peut être suffisante, tandis que pour d’autres postes, un diplôme d’études collégiales (DEC) ou un diplôme universitaire peut être requis.

Voici quelques exemples de programmes d’études pertinents pour entrer dans le domaine de la maintenance :

  • Formation professionnelle : Des programmes de formation professionnelle en électromécanique, en maintenance industrielle ou en mécanique automobile peuvent vous donner les compétences de base nécessaires pour entrer dans le domaine de la maintenance.
  • Certifications professionnelles : Des certifications telles que les certifications de technicien de maintenance ou de spécialiste de la fiabilité peuvent également vous aider à acquérir les compétences et les connaissances nécessaires pour travailler dans la maintenance.
  • Diplôme d’études collégiales (DEC) : Les programmes tels que les techniques de génie mécanique ou électromécanique peuvent vous donner des compétences spécialisées dans des domaines tels que la conception, la fabrication et la maintenance des équipements.
  • Diplôme universitaire : Pour les postes de direction dans la maintenance, tels que les postes d’ingénieur de maintenance, un diplôme universitaire en génie mécanique, électrique ou industriel peut-être requis.

 

Quels sont les différents jobs du secteur de la maintenance ?

Le secteur de la maintenance comprend de nombreux postes et rôles différents, qui peuvent varier en fonction de l’industrie, de l’entreprise et du type d’équipement ou de système qui est maintenu. Voici quelques exemples de postes dans le secteur de la maintenance :

  • Technicien de maintenance : Les techniciens de maintenance effectuent des inspections, des réparations, des entretiens préventifs et des diagnostics de pannes sur des équipements mécaniques, électriques ou électroniques. Ils peuvent travailler dans des industries telles que la fabrication, les services publics, les transports, les soins de santé et la construction.
  • Ingénieur de maintenance : Les ingénieurs de maintenance conçoivent, planifient et supervisent les programmes de maintenance préventive et corrective des équipements. Ils peuvent également gérer les projets de maintenance, superviser les techniciens et proposer des améliorations pour optimiser la fiabilité et la durée de vie des équipements.
  • Spécialiste de la fiabilité : Les spécialistes de la fiabilité sont responsables de la conception et de la mise en œuvre de programmes de maintenance préventive et de surveillance pour réduire les pannes d’équipement et prolonger la durée de vie des équipements. Ils utilisent souvent des méthodes d’analyse prédictive pour identifier les problèmes potentiels avant qu’ils ne se produisent.
  • Chef d’équipe de maintenance : Les chefs d’équipe de maintenance supervisent les techniciens de maintenance et les travailleurs d’entretien. Ils sont responsables de la planification des tâches, de l’attribution des ressources et de la gestion des horaires pour assurer un travail efficace et respecter les délais.
  • Technicien en génie mécanique : Les techniciens en génie mécanique travaillent sur des équipements mécaniques tels que les systèmes de chauffage, de ventilation et de climatisation (CVC), les moteurs et les pompes. Ils effectuent des inspections, des réparations et des entretiens préventifs pour assurer le bon fonctionnement des équipements.
  • Technicien de maintenance informatique : Les techniciens de maintenance informatique sont responsables de la réparation et de la maintenance des équipements informatiques tels que les ordinateurs, les imprimantes et les réseaux. Ils effectuent des diagnostics de pannes, des réparations et des mises à jour logicielles pour assurer le bon fonctionnement du système informatique.
  • Électricien de maintenance : Les électriciens de maintenance travaillent sur des équipements électriques tels que les circuits de distribution, les panneaux de commande et les moteurs électriques. Ils effectuent des inspections, des réparations et des entretiens préventifs pour assurer la sécurité et le bon fonctionnement des équipements.
04/04/2023 Nico

Si vous souhaitez que votre entreprise se démarque et améliore son chiffre d’affaires, il est crucial de comprendre l’importance des photographies professionnelles en marketing. Selon une étude réalisée par HubSpot, les entreprises qui utilisent des photographies de qualité dans leur communication augmentent leur taux d’engagement de 94%. Les photographies de qualité ont un impact significatif sur la perception de l’entreprise, renforçant son image de marque et sa crédibilité.

 

Pourquoi réaliser des photos pro pour son entreprise ?

En 2023, encore plus que les années précédentes, la communication digitale privée ou professionnelle repose sur l’image. Réaliser un shooting photo d’entreprise constitue un levier incontournable pour construire votre image de marque. La photo professionnelle (photo corporate) permet de définir précisément les valeurs de votre entreprise, de créer une cohérence avec votre univers et vos produits (personal branding). Beaucoup mieux que des mots, des images de qualité offrent une véritable transparence, un rapport d’honnêteté et un gage de professionnalisme à vos clients.

Il est important de noter que les photographies ne doivent pas seulement être de qualité, elles doivent également être originales et donner une image dynamique de l’entreprise. Les photographies de l’équipe et des dirigeants montrent une transparence et créent un lien d’empathie avec les clients. Les reportages dans les bureaux et les ateliers permettent de montrer la culture de l’entreprise, tandis que les photographies de produits et de services peuvent aider les clients à mieux comprendre les caractéristiques des produits.

Grâce à une plus grande proximité, vous créez une relation d’empathie et un climat de confiance avec votre cible. Vous devenez une valeur sûre qui offre une réponse à ses besoins. Et surtout, vous vous démarquez de vos concurrents !

Un photographe corporate vous permettra, en effet, de réaliser un shooting photo d’entreprise original et fun qui fera la différence ! Eh oui, la photographie d’entreprise 2023 n’a rien à voir avec les images plaquées et un peu trop coincées d’autrefois ! Le dynamisme et l’énergie s’invitent à la séance pour donner une image, spontanée et pleine de vie de votre entreprise, qui fédère !

Enfin, la couverture photographique d’événements tels que les salons professionnels ou les conférences permet à l’entreprise de montrer son ouverture d’esprit et son dynamisme. Une entreprise qui participe à des événements montre qu’elle est engagée dans sa communauté et qu’elle est à la pointe des dernières innovations.

 

Comment valoriser son entreprise avec des photos pros ?

Le shooting photo d’entreprise est multifacette ! Vous pouvez choisir de réaliser :

  • Un shooting photo portrait de dirigeants et/ou de collaborateurs : il permet à vos clients de savoir « à qui ils ont affaire ». Côté style, c’est à vous de décider de l’image que vous souhaitez renvoyer de votre entreprise. Quelle sera votre tenue ? Dans quel lieu souhaitez-vous vous présenter ? Préférez-vous un regard direct ou une photo prise sur le vif sur votre poste de travail ? Durant la séance photo de portrait, vous serez guidé par votre photographe professionnel dans la création de votre image de marque.
  • Des photos d’équipe : c’est un shooting photo d’entreprise qui permet à vos partenaires de mettre des visages sur les noms. Quant à vos clients, ils peuvent ainsi découvrir les forces vives qui œuvrent en coulisses. Les photos sur le poste de travail sont très tendance. Elles dévoilent l’expertise de chacun des collaborateurs dans son domaine d’activité.
  • Un reportage dans les bureaux ou les ateliers : c’est un shooting photo d’entreprise qui démontre qu’il n’y a pas de vice caché derrière votre image de marque ! Vous ouvrez les portes de votre entreprise à vos clients en toute transparence. Ils peuvent ainsi constater la bienveillance et la convivialité de votre marque par des bureaux modernes en open space et une déco contemporaine.

Une visite des ateliers en images offre aussi l’opportunité de découvrir l’étendue de vos moyens techniques et votre spécialisation. À noter que des photos et vidéos drone peuvent aussi être réalisées. Uniques et étonnantes, elles montrent, de façon dynamique, vos locaux sous un angle original. Elles permettent également de montrer la superficie totale de votre entreprise.

  • Des photos de produits (photo packshot) ou de services : Elles sont incontournables puisque c’est ce que vous vendez ! Bien sûr, les mots peuvent décrire mais seules les images peuvent montrer l’aspect réel des produits ou services achetés. Un photographe packshot possède tout le matériel technique ainsi qu’un talent créatif indéniable pour transformer de simples produits en nécessité vitale !
  • Un reportage événementiel : ce shooting photo d’entreprise dévoile à vos clients votre ouverture sur le monde, sur les dernières innovations et une volonté de réflexion et de formation constante. Quoi de mieux pour montrer son efficacité et sa performance ? Ce shooting photo d’entreprise concerne plus précisément la couverture d’événements internes à l’entreprise (séminaire, convention, etc.) mais aussi la participation à des séminaires, des salons professionnels, etc.

 

Comment trouver un photographe pro pour son entreprise ?

Rien de plus simple, laissez-vous guider par Utopix ! Première plateforme de mise en relation de photographes et vidéastes professionnels avec des particuliers et entreprises, Utopix constitue votre partenaire de confiance pour la réalisation de photos et vidéos haut de gamme. Pour votre shooting photo d’entreprise, il vous suffit de vous inscrire gratuitement sur la plateforme et d’exposer votre demande.

Utopix vous met alors en relation, via une messagerie sécurisée, avec des professionnels compétents près de chez vous. Vous pouvez librement échanger et poser vos questions afin de sélectionner votre prestataire. Vous recevez alors plusieurs devis directement dans votre boîte mail et vous n’avez plus qu’à choisir ! Ne confiez pas vos projets les plus précieux à un amateur, contactez Utopix !

13/03/2023 Nico

Voilà plusieurs semaines qu’une idée vous taraude : “et si je venais en aide à une association d’intérêt général ?” Mais à côté de cette idée, une barrière, une peur, celle de l’inconnu, celle d’oser aller à la rencontre d’un public que l’on ne connaît pas. 

Est-ce que réaliser une mission solidaire sur votre temps de travail pourrait vous aider à sauter le pas ? Bonne nouvelle : c’est possible grâce au concept de mécénat de compétences. Comment ? On vous dévoile tout ce qu’il faut savoir dans cet article !

 

Qu’est-ce que le mécénat de compétences ?

Le mécénat de compétences est l’une des applications possibles du mécénat au sens large. Le mécénat est défini par le ministère de la culture comme « le soutien matériel apporté, sans contrepartie directe de la part du bénéficiaire, à une œuvre ou à une personne pour l’exercice d’activités présentant un intérêt général ». Le bénéficiaire du mécénat est toujours un organisme d’intérêt général.

Le mécénat de compétences, plus spécifiquement, permet de mettre à disposition les salarié·e·s sur leur temps de travail au profit d’un projet d’intérêt général, en mobilisant ou non leurs compétences professionnelles (selon la chambre de commerce et d’industrie).

Vous souhaitez soutenir une association sur votre temps de travail ? Vous réaliserez donc alors du mécénat de compétences. Et il en existe 2 formes :

  • La prestation de services : L’entreprise mécène propose à titre gracieux à une association un service spécifique ou une tâche prédéfinie. Par exemple : créer la charte graphique de l’association, trier des dons de vêtements, distribuer des repas aux personnes dans le besoin…
  • Le prêt de main-d’œuvre : Le salarié rejoint temporairement l’organisme bénéficiaire, qui devient alors le superviseur de son travail et qui veille au respect des conditions de travail. D’un point de vue juridique et social, l’entreprise mécène reste le seul employeur du ou de la salarié·e. 

 

Les avantages du mécénat de compétences pour les salariés 

Vous vous en doutez, les bénéfices sont nombreux. On peut notamment citer : 

  • L’occasion d’échanger avec de nouvelles personnes, qui sortent de votre cadre habituel et de donner à nouveau du sens à votre quotidien ;
  • Développer de nouveaux savoir-faire ou savoir-être en sortant de votre zone de confort ;
  • Découvrir aussi la mission de l’association qui vous accueille en la soutenant sur votre temps de travail (avec donc une garantie de votre salaire).

 

Les avantages du mécénat de compétences pour les associations

Le mécénat de compétences est un soutien important pour les associations, notamment s’il s’effectue sur la durée. C’est aussi le moyen pour elles de rencontrer de potentiels nouveaux bénévoles qui rejoindront peut-être ensuite l’association sur leur temps libre de manière pérenne. Une collaboration tripartite avec l’entreprise qui apporte ainsi de nombreux avantages à tout le monde. 

 

Quelles activités de mécénat peut-on réaliser et auprès de quelles associations ?

Il est possible de réaliser des missions de bénévolat dans de nombreuses associations différentes et en faveur de publics très variés. Voici quelques exemples :

  • animer des activités sportives avec Kabubu, qui vise à favoriser l’inclusion des personnes réfugiées grâce aux valeurs fédératrices du sport ;
  • parler de son métier à une classe de collégien.nes avec l’association Moi dans 10 ans, un vrai coup de pouce à l’égalité des chances ;
  • aider des personnes âgées avec Paris en compagnie, un dispositif gratuit de lutte contre l’exclusion et la perte de mobilité des aînés ;
  • effectuer une collecte de denrées alimentaires avec Les Restos du Coeur.

Il est parfois compliqué de s’y retrouver parmi l’ensemble des associations et des missions solidaires disponibles aujourd’hui. Pour aider dans la démarche, il est possible de s’entourer d’un acteur spécialisé dans l’engagement solidaire, comme Wenabi qui propose une plateforme dédiée sur laquelle les associations sont aujourd’hui habituées à publier leurs missions. Un moyen simple et pratique d’entrer en contact avec les associations. 

Notez qu’il est aujourd’hui de plus en plus commun pour les entreprises d’accorder des jours payés de solidarité, qui peuvent être dédiés à une association. La moyenne est généralement de 2 jours par an offerts pour s’engager pour une cause qui nous tient à cœur. 

Et si vous suggériez à votre équipe RH ou manager, de s’impliquer dans l’engagement solidaire avec un projet similaire ?

Découvrez en plus sur le mécénat de compétences grâce à cet article de Wenabi.

les étapes d’un achat immobilier à connaître
10/03/2023 Nico

Primo-accédant, acheteur indépendant, profil senior et même investisseur locatif : tous ont la capacité de devenir propriétaire. D’ailleurs pour ce faire, tous les types d’acquéreurs doivent respecter les étapes d’un achat immobilier. Elles sont au nombre de 4 et représentent un protocole très précis de la marche à suivre pour qu’un acheteur immobilier puisse devenir propriétaire.

Pour celles et ceux qui souhaiteraient in-fine, franchir le cap, et devenir eux aussi propriétaires : cet article vous expose les 4 étapes d’un achat immobilier selon les lois mises en vigueur en France.

 

Pourquoi faut-il connaître les étapes d’un achat immobilier ?

Pour commencer, nul n’est censé ignorer la loi. Cet adage est réel et pour devenir légalement et juridiquement propriétaire d’un bien alors vous devez respecter le protocole mis en place par l’État. Dans le cas contraire, vous seriez pénalisé si vous tentiez d’obtenir le titre de propriétaire d’un bien immobilier sans respecter les termes. Et par conséquent, le vendeur du bien.

Outre cela, il est important de connaître les étapes d’un achat immobilier afin de pouvoir entamer les démarches tout en préservant votre sécurité financière. Ainsi que celle du vendeur, qui va devoir prochainement se séparer d’un bien de grande valeur.

De ce fait, les 4 étapes d’un achat immobilier servent principalement à garantir aux deux parties, une transaction en bonne et due forme. Sans débordement ni litige possible. Ce protocole est extrêmement important, car l’achat – vente d’un bien immobilier représente souvent plusieurs dizaines voire centaines de milliers d’euros. Le risque d’être pénalisé sur le long terme est donc très important si jamais l’une des parties venait à être victime de dol ou d’une arnaque.

Les raisons d’apprendre les 4 étapes d’un achat immobilier.

Connaître les 4 étapes d’un achat immobilier permet de devenir propriétaire plus facilement.

 

Vous êtes vendeur ? Lisez notre contenu pour découvrir nos 5 conseils pour décrocher vos offres d’achat immobilier.

 

Les 4 étapes d’un achat immobilier de rêve

Les concernant, les 4 étapes d’un achat immobilier sont connues et appliquées par l’ensemble des acteurs du marché immobilier (acheteurs, vendeurs, etc.). Aussi, quel que soit le type d’investissement immobilier souhaité par l’acheteur, les étapes d’achat immobilier sont les mêmes.

Autrement dit, les acheteurs souhaitant acquérir une nouvelle résidence principale. Tout comme ceux souhaitant acquérir une énième propriété pour mettre le logement en location.

Les voici, ci-dessous :

 

1) Recherchez un bien immobilier à vendre

Évidemment, pour effectuer un achat immobilier l’acheteur doit trouver la perle rare. C’est-à-dire, le bien immobilier remplissant tous les critères recherchés par l’acheteur. Malgré toutes les solutions existantes pour trouver un nouveau logement, c’est bien les sites spécialisés qui remportent le plus de succès avec un trafic très varié. Composé de propriétaires de biens à la vente ainsi que d’acheteurs prêts à investir très prochainement.

Par exemple, Coupdecoeur.immo est un site d’acheteurs immobiliers sur lequel les propriétaires décrivent leur bien à la vente. Puis, reçoivent des profils d’acheteurs immobiliers qualifiés intéressés. Ces derniers ayant la capacité d’acheter la propriété au prix auquel elle est affichée.

 

En proposant votre profil d’acheteur sur Coupdecoeur.immo vous aurez la possibilité d’entièrement décrire le type de bien que vous souhaitez acquérir avec les informations suivantes :

  • Le prix de vente du bien
  • La dynamique du quartier dans lequel il se trouve
  • Le type de bien : maison, appartement, etc.
  • La surface par pièce
  • Les visuels et les styles d’architecture de votre propriété
  • Les commodités les plus importantes situées autour : médecin, commerces, transports en commun, etc.

En publiant votre recherche d’achat immobilier, l’algorithme de Coupdecoeur.immo fera le comparatif avec les 11 000 profils de vendeurs intentionnistes inscrits. Puis, vous pourrez trouver le bien idéal et aller le visiter pour vous projeter davantage dans votre intention d’achat.

Vous n’aurez pas à diffuser votre profil d’acheteur partout autour de vous dans l’espoir de trouver des vendeurs potentiellement intéressés. Avec Coupdecoeur.immo, vous recevez directement des profils de vendeurs sérieux avec une description complète de leur bien.

 

2) Rédigez et transmettez une offre d’achat

Après avoir été conquis par la visite d’un bien immobilier, vous pouvez si vous le souhaitez, rédiger à main levée puis transmettre une offre d’achat.

Cette dernière doit être adressée directement au vendeur et doit comporter les éléments suivants :

  • D’abord la désignation du bien.
  • Ensuite la date de l’offre.
  • Puis le prix fixé par l’émetteur de l’offre.
  • Enfin, la durée de validité de l’offre entre 1 ou 2 semaines.

Une fois l’offre d’achat reçu, le vendeur peut soit accepter vos conditions, soit les refuser ou bien faire une contre-proposition. En cas de refus, votre offre d’achat immobilier s’arrête et ne donne pas de suite. Tandis que la contre-proposition vous fait parvenir une réponse du vendeur avec une seconde offre que vous pouvez accepter, décliner ou une nouvelle fois contre-proposer.

Devenir propriétaire au terme des 4 étapes d’un achat immobilier.

À la fin des 4 étapes d’un achat immobilier, vous deviendrez propriétaire de votre logement.

 

Consultez notre article pour découvrir le modèle d’offre d’achat immobilier à utiliser pour votre projet d’accession.

 

3) Signez une promesse de vente avec les propriétaires actuels

Au cas où votre offre d’achat serait acceptée par le vendeur, vous pouvez choisir de sécuriser encore un peu plus la transaction en signant une promesse de vente. Comme un avant contrat, la promesse de vente permet de lister et de faire signer un document comprenant les termes et conditions exactes de la vente.

Deux options pour cela, vous pouvez effectuer un acte sous seing privé en passant directement par le vendeur. Ou bien via le notaire, avec un acte authentique.

Voici ce que doit comporter la promesse de vente :

  • Les coordonnées du vendeur et de l’acheteur.
  • Les informations concernant le bien (adresse, origine, descriptif détaillé avec plan et existence d’hypothèque ou de servitude).
  • Informations concernant la transaction (prix de vente, modalités, durée de la promesse avec date de signature définitive, informations sur le droit de rétractation, clauses suspensives et date de disponibilité du bien).

Une fois la promesse de vente signée par les deux parties (acheteur et vendeur), le document doit être enregistré auprès de la recette des impôts sous 10 jours. Dans le même délai, la loi prévoit un délai de rétractation de 10 jours à compter de la signature pour sortir de la promesse de vente sans condition.

Au-delà des 10 jours, si l’acheteur rompt sa promesse de vente alors le vendeur se voit conserver l’indemnité d’immobilisation correspondant à 10% du prix du bien.

 

4) Signez l’acte de vente et devenez propriétaire

Si la promesse de vente peut être effectuée sous seing privé, l’acte de vente est lui, obligatoirement établi par un notaire. Après la signature de l’acte de vente par l’ensemble des acheteurs et des vendeurs (couples, héritiers, etc.), alors les clefs sont remises aux acheteurs ainsi que l’attestation de propriété.

À ne pas confondre avec le titre de propriété qui met plus de temps à vous parvenir. Car pour cela, le notaire doit enregistrer l’acte de vente au service de publicité foncière. Ensuite, il reçoit la copie de l’acte authentique cachetée par l’administration fiscale.

Ainsi, voilà que s’achève la 4e et dernière des étapes d’un achat immobilier faisant de vous un propriétaire.

 

Les 4 étapes d’un achat immobilier : ce qu’il faut retenir

En respectant scrupuleusement les 4 étapes d’un achat immobilier, vous parviendrez à acheter votre prochaine propriété sans risquer de vous pénaliser. Vous, ou votre vendeur.

Pour rappel, voici les 4 étapes d’un achat immobilier à suivre pour votre prochain investissement. Et ce, quel que soit votre statut :

  • Recherchez puis trouvez un bien immobilier qui vous plaît.
  • Rédigez une offre d’achat pour entamer les négociations avec le vendeur.
  • Signez une promesse de vente pour verrouiller l’accord.
  • Signez l’acte de vente pour devenir officiellement propriétaire.

Pour plus de renseignements sur le processus d’achat immobilier, consultez le site Économie.gouv.